BUSTE D'ALEXIS MILLARDET

> NATURE/CONSTRUCTION:   1er buste en bronze, 2ème buste en pierre de Chauvigny. Reste du monument en pierre.

> ÉTAT:   1er buste en bronze: fondu lors de la 2nde Guerre mondiale, 2ème buste: toujours visible.

Coordonnées GPS:    

44.84897, -0.57979.

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=> la CARTE:

Pierre Marie Alexis MILLARDET, fils d'Alexis, notaire royal et d'Anne Joséphine JACQUES de FLEUREY, est né le 13 décembre 1838 à Montmirey-la-Ville, dans le Jura. La famille MILLARDET est originaire de Haute-Saône.  Alexis MILLARDET, dans un premier temps, fait ses études au Collège de l’Arc à Dôle chez les Jésuites, il y reçoit une éducation sévère. Puis ensuite, au Collège de Besançon, c'est un brillant élève qui laisse le souvenir d'un bon et joyeux camarade. 

En 1854 il rejoignit son oncle le médecin Millardet à Paris, il poursuit ses études médicales et scientifiques, mais son goût pour les sciences le fait aussi s'inscrire à la Sorbonne. Il fait des recherches en science pure, il fréquente alors la faculté des sciences, et consacre son temps à la botanique, sa passion.

En 1861, il est licencié des Sciences naturelles et admis à la Société des Botanistes de France et entre au laboratoire du botaniste Camille MONTAGNE. Il est associé aux études sur les algues, les lichens, certains champignons parasites (mildiou de la pomme de terre, oïdium de la vigne...). Suivra, un mémoire signé de leurs deux noms. Il s'initie à d'autres méthodes de recherches et d'enseignement, en passant quatre années en Allemagne dans les Universités de Heidelberg et de Fribourg-en-Brisgau en Allemagne où il commence la publication de mémoires traitant de la botanique. . Il y réalise d'importantes recherches sur les monocotylédones, les lichens, la sensitive et les matières colorantes des végétaux. 

De retour en France, en 1869, il obtient les doctorats de Médecine et de Sciences naturelles. Aussitôt, il obtient la chaire de professeur de botanique à l'Université de Strasbourg, puis de Nancy. Pendant la guerre de 1870, il assure la fonction de médecin militaire.

C'est en 1874, en qualité de délégué de l'Académie des Sciences, qu'il arrive à Bordeaux pour étudier les vignes américaines. La crise du phylloxera éclate en 1874, Pierre-Marie Alexis Millardet fait partie de la commission d'étude, dès cette date. C'est le point de départ de la carrière bordelaise et viticole d'Alexis MILLARDET. 

En 1876 et devient titulaire de la Chaire de Botanique à la Faculté des Sciences de Bordeaux. Il reste à ce poste durant 25 années et y dispense un enseignement de haute qualité. Il mène en parallèle des recherches de botanique appliquée. Il s'intéresse en particulier aux maladies de la vigne. Le phylloxéra (puceron importé d'Amérique), et conçoit l'hybridation des cépages français et américains pour sauver nos vignobles. Il lutte contre les maladies de la vigne causées par des champignons notamment le Peronospora du Mildiou et met au point un traitement en 1885, la "Bouillie bordelaise"  (3 kg de sulfate de cuivre et 1 kg de chaux vive dans 1 litre d'eau). Ce traitement protège définitivement la vigne des attaques du mildiou. Ces travaux sont menés conjointement avec Ulysse GAYON, ancien assistant de Louis PASTEUR de 1872 à 1875.

Il est le premier à concevoir l'hybridation des cépages pour obtenir des plants directs ou des porte-greffes résistants au phylloxéra. Les méthodes préconisées par Alexis MILLARDET sont alors rapidement appliquées dans le monde entier. Aussitôt les témoignages unanimes d'admiration et de reconnaissance affluent qu'ils soient de savants français ou étrangers, de propriétaires viticoles ou de modestes cultivateurs. Alexis MILLARDET est fait Chevalier du Mérite Agricole en 1884. Dans une lettre à Jules VERCEL du 9 octobre 1885, PASTEUR rend hommage aux deux chercheurs GAYON-MILLARDET. Il est fait Chevalier de la Légion d'Honneur en 1888.

Il meurt à Bordeaux le 15 décembre 1902 près avoir cessé ses activités en 1901 pour cause de maladie. Alexis Millardet a été inhumé à Talence (Ancien Cimetière - Caveau - Série 4 - Emplacement 26).

Après sa mort de nombreux hommages lui seront rendus :

NOTE: Le monument qui lui est dédié au Jardin Public de Bordeaux est situé non loin de celui de son collègue chercheur Ulysse GAYON, voir ici: https://www.bordeaux-qqoqccp.fr/themes/statues-de-bordeaux/buste-ulysse-gayon

> Janvier 1912 : 10 ans après le décès du scientifique Alexis Millardet, un comité est organisé sous le patronage de la société d’Agriculture de la Gironde afin d’ériger un monument à la mémoire d’Alexis Millardet. Le bureau de ce comité est « composé de M. Delaunay, ancien président de la société d’Agriculture de la Gironde, comme président ; M. Dethan, viticulteur à Bourdeilles (Dordogne), M. Gayon, directeur de la station agronomique et œnologique de Bordeaux, Louis Mortier, gérant de château-Lafite, Verneuil, président de la Fédération des viticulteurs charentais, comme vice-présidents ; M. G. Daurel, secrétaire général de la société d'Agriculture de la Gironde, comme secrétaire ; M. A. Rozier, vice-président de la Société d’Agriculture de la Gironde, comme trésorier. » Une souscription publique est ouverte pour l’élévation du monument dont l’exécution est confiée à G. Leroux; le comité compte recueillir une somme de 9 000 francs.

> Mai 1913: Gaston Leroux précise que le prix global de ce monument qui compterait six mois d’exécution, s’élèverait à 10 500 francs

> 18 juillet 1913: L’administration municipale autorise l’emplacement du monument dans le Jardin public de Bordeaux, près des serres (précisément, face à l’angle ouest de la partie postérieure des serres)

> 1er décembre 1913: Gaston Leroux sollicite de l’administration municipale une subvention pour les fondations du monument

> 24 janvier 1914, à 10 heures du matin: le maire de Bordeaux Charles Gruet et les membres de la commission municipale des Beaux-Arts sont invités à se réunir dans l’atelier du sculpteur afin d’examiner la maquette du monument de Millardet. Modèle du buste en plâtre (aujourd'hui situé à Villenave d’Ornon, Centre INRAE Nouvelle-Aquitaine-Bordeaux, UMR SAVE) et ronde-bosse.

> 1914: Exposition au Salon de la société artistique L’Atelier de Bordeaux

> 6 avril 1914 : le conseil municipal vote une subvention de 1 000 F.

> Mai 1914: Le montant total et définitif de la souscription est de 12 070 francs. Les dons proviennent non seulement de France, mais de tous les pays viticoles.

> 5 juillet 1914: Hommage de reconnaissance des viticulteurs à la mémoire d'Alexis Millardet, par l’inauguration du monument élevé dans le Jardin public de Bordeaux. Le lendemain, une excursion dans le Médoc, sous la direction de M. Octave Audebert, président de la société d'Agriculture de la Gironde, fut le complément de cette fête de la reconnaissance des viticulteurs.

> 5 décembre 1941: La commission départementale qui a pour mission de se prononcer sur le maintien ou l’enlèvement des statues et monuments métalliques, prend la décision de l’enlèvement du buste d’Alexis Millardet en vue de sa refonte

> 15 décembre 1941: Sur décision de l’administration municipale « un moulage immédiat des bustes d’Ulysse Gayon et d’Alexis Millardet » doit être effectué

> Février 1942: le buste en bronze d’Alexis Millardet est réceptionné par le Groupement d’Importation et de Répartition des Métaux. Le procès-verbal de réception et de pesage indique que « l’œuvre en bronze pèse 90 kg ». Il sera fondu dans le cadre de la "Récupération des Métaux non ferreux".

> 1952: la société d’Agriculture de la Gironde, l’association des Anciens Élèves de l’École de Chimie de Bordeaux et le syndicat des Ingénieurs Chimistes du Sud-Ouest déposent une requête auprès du maire de Bordeaux, Jacques Chaban-Delmas, afin que les bustes d’Alexis Millardet et d’Ulysse Gayon enlevés en 1942, soient remplacés par de nouveaux monuments en vue de perpétuer le souvenir des deux savants

> 2 février 1953: L’administration municipale donne un avis favorable à la reconstitution des deux bustes, sur leurs emplacements d’origine du Jardin public et prend à sa charge les frais de réalisation des nouveaux monuments.

> 30 juin 1953: Alexandre Callède, professeur à l’École des Beaux-Arts de Bordeaux, est désigné par l’administration municipale afin de reconstituer le buste d’Alexis Millardet, en pierre de Chauvigny. Son emplacement au Jardin public est inchangé. Le coût de l’exécution s’élève à un montant de 180 000 francs : 160 000 francs, pour le buste et 20 000 francs pour le transport et la mise en place.

> 3 décembre 1954: Inauguration des bustes reconstitués d’Alexis Millardet et d’Ulysse Gayon au Jardin public de Bordeaux.

> Sur la base du relief : G LEROUX, 1914 sur le piédestal,

> En façade : A / P.M. Alexis MILLARDET Professeur à la Faculté des Sciences de l’Université de Bordeaux Correspondant de l’Institut de France 1838-1902. LA VITICULTURE RECONNAISSANTE

> À gauche : En mémoire de ses travaux sur les maladies de la vigne la bouillie bordelaise les vignes américaines : l’hybridation

> À droite : Ce monument a été inauguré le 5 juillet 1914 Monsieur Charles GRUET étant maire de Bordeaux

Portraitiste fécond, Gaston LEROUX offre le beau visage d’un homme âgé, délicatement penché, au regard interrogatif sur l’inconnu mais empreint surtout d’une expression de bonté. Ce regard vibrant anime les traits souples d’une figure fort vivante. Une grande minutie dans le rendu des détails restitue un front puissant, une barbe fournie, une bouche bien dessinée, des rides creusées ou des traits émaciés.

Millardet porte sur sa tête une coiffe grecque en velours (qu'il avait pour habitude de porter sur ses vieux jours) tandis qu’il est vêtu d’une chemise, d’un gilet boutonné, d’une veste ouverte et d’une écharpe disposée avec soin. Un tel souci d’expressivité, de réalisme et de pittoresque fait revivre Millardet aux yeux de ceux qui l’ont connu, saisis par la ressemblance de ses traits. A l’évidence, l’art du portrait offre au sculpteur un équilibre heureux entre sa fidélité à la tradition classique et son émancipation singulière vers une sensibilité réaliste personnelle.

Le socle « en pierre blanche » se compose d’une colonne d’ordre ionique, reconnaissable à son chapiteau fait de deux volutes (enroulements en spirale) encadrant une échine décorée d’oves et de perles. Puis, l’ensemble du fût avec ses cannelures disparaît dans un écrin de pierres irrégulières et juxtaposées, sur lesquelles se déploient des pampres chargés de baies de raisins.

Au premier plan, est représentée une jeune femme nue, placée de dos. Allégorie de la Viticulture reconnaissante, elle offre gracieusement de sa main droite une grappe de raisin, en guise d’hommage à son bienfaiteur. Par l’ampleur de son mouvement, sa main et la grappe dépassent le sommet du piédestal et provoquent ainsi un effet saisissant de réalisme. La jeune femme se dresse sur la pointe du pied gauche, le talon légèrement décollé de son appui, tandis que sa jambe droite pliée et sa main gauche posée sur la colonne assurent l’équilibre à l’ensemble.

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NOTE: Des différences notables sont à souligner entre le buste de Leroux et la copie de Callède. Dans l’œuvre originale, la barbe paraît plus proéminente et la coiffe semble rejetée davantage en arrière. Mais c’est plus encore de par leur traitement que s’opposent les deux œuvres : le portrait initial sait traduire le caractère sensible, vivant et naturel du modèle ; les traits du visage reconstitué sont trop massifs, leur modelé pas assez délicat pour pouvoir rendre une expressivité tout aussi véritable.

L’année 1953, voit la reconstitution de deux bustes au jardin public : ceux d’Alexis Millardet et d’Ulysse Gayon. Le buste de Alexis Millardet en pierre de Chauvigny, est confié à Alexandre Callède, professeur de sculpture statuaire à l’école des Beaux-Arts de Bordeaux (depuis la mort de Charles Malric en 1942). En l’absence du plâtre original de Leroux, Callède reconstitue un nouveau buste du botaniste dont le modèle en terre cuite est toujours conservé chez les descendants du sculpteur.

Présentée au Salon de l’Artiste en 1953, l’œuvre est inaugurée en présence de Jacques Chaban-Delmas et retrouve sa place sur son socle resté inchangé au jardin public.

Note: La SAVE (santé et agroécologie du vignoble) a la chance de posséder la dernière version en plâtre précédant l’œuvre définitive (en bronze) du buste créé par le sculpteur Gaston Leroux en 1914. Il est conservé sur le Centre INRAE Nouvelle-Aquitaine-Bordeaux, dans les locaux de l’UMR SAVE, et a fait l'objet d'une restauration en Mai 2020

Restauration par Aline Raux

ANECDOTES ET INFORMATIONS ANNEXES

=> Château Dauzac - Monument en hommage à Ernest DAVID et Alexis MILLARDET:

C'est au cru classé du Médoc, le château Dauzac, au cœur de l'appellation Margaux, que l'on doit le traitement naturel le plus efficace depuis plus d'un siècle contre cette vilaine maladie cryptogamique de la vigne qu'est le mildiou. En 2018, année de forte pression, qui finit, dans sa forme agressive, par dessécher complètement les baies de raisin, nombre de viticulteurs bios doivent d'avoir sauvé ce qu'ils pouvaient de leur récolte à un régisseur né au milieu du xixe siècle, Ernest David. Mélange de sulfate de cuivre et de chaux éteinte, ce que l'on désigne toujours par le nom de « bouillie bordelaise » est le produit de la chance et de la science (Le mélange cuprique se situait autour de 3 kg de sulfate de cuivre et d'un tiers de chaux vive dans 100 litres d'eau.). Alors responsable des châteaux du négociant Nathaniel Johnston, Ducru Beaucaillou à Saint-Julien et Dauzac à Margaux, Ernest David avait pris l'habitude de badigeonner de sulfate de cuivre les vignes bordant routes et chemins afin de dissuader les gamins d'y chaparder des raisins.

Alexis Millardet essayait chez lui des solutions contre le mildiou, sur quelques pieds de vigne, pour en observer le développement. Avec son ami Ulysse Gayon, professeur de chimie à la faculté des sciences de Bordeaux, de nombreuses expériences en laboratoire furent appliquées sur le terrain. C'est en observant, en 1882, que les pieds ainsi traités résistaient au mildiou qu'ils expérimentèrent le traitement avec succès.

 Ils eurent l'autorisation de travailler sur les vignes du château Ducru-Beaucaillou à Saint-Julien et du château Dauzac à Labarde, appartenant tous deux au négociant Nathaniel Johnston. Les deux propriétés étaient régies par le même homme, Ernest David, qui les aida à mettre en pratique, dans les deux propriétés de Nathaniel Johnston, les solutions étudiées par les deux chercheurs (A. Millardet et U. Gayon).

Les mêmes expériences eurent lieu au château Langoa chez Monsieur Barton à Saint-Julien, régi par Monsieur Jouet, ancien élève de l'Institut national agronomique de Paris.

Les expériences de 1883 à 1885 furent concluantes et en 1886, le mildiou était jugulé.

Il est intéressant de signaler que cette découverte fut également faite par les Bourguignons à la même époque.

 Une découverte fortuite : la bouillie bordelaise

Au milieu du XIXe siècle, les attaques de phylloxéra et d'oïdium provoquent des ravages considérables dans le vignoble européen et compromettent les récoltes.

Le mildiou apparaît en 1878 en Gironde. En provenance d'Amérique, ce champignon parasite dénommé Plasmopara viticola se développe rapidement, favorisé par l'humidité du climat.

Il s'attaque d'abord aux feuilles, puis aux grappes, qui finissent par se dessécher ou pourrir sur pied. Un botaniste, Alexis Millardet, avait remarqué que les traces de cuivre pouvaient entraver la germination du champignon parasite.

Dans le Bordelais, les vignerons de Saint-Julien avaient en effet coutume de pulvériser du vert-de-gris sur les feuilles des vignes longeant les chemins pour dissuader les voleurs de prendre du raisin, et Millardet avait noté que ces vignes étaient épargnées par le champignon. (voir ci-dessus)

Les recherches qui suivirent ses observations permirent de préciser les proportions efficaces d'un mélange à base de sulfate de cuivre neutralisé par un lait de chaux, dont le chimiste Ulysse Gayon mit au point la formule exacte.

Ce pesticide qui dorénavant s'appellera « bouillie bordelaise » est rapidement utilisé à grande échelle, à l'initiative d'un ingénieur et homme politique de Bordeaux, Nathaniel Johnston.

Projetée par aspersion au moyen d'un appareil pulvérisateur mieux connu sous le nom de « sulfateuse », elle est toujours employée aujourd'hui, aux côtés d'autres fongicides.

Le cycle de reproduction annuel du phylloxéra 

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Élève de Tuffet et de Leroux à l'école des Beaux-Arts de Bordeaux. Expose d'abord à la Société des Amis des Arts puis à l' Atelier (à partir de 1931) et, à Paris, au Salon des Artistes Français. Professeur de sculpture statuaire à l'école des Beaux-Arts de Bordeaux (1942-1972), Callède fut aussi un athlète de haut niveau, vice-champion de France de saut en hauteur (1921).

GASTON VEUVENOT LEROUX enseigne à partir de 1893, en qualité de professeur de statuaire à l'École des beaux-arts de Bordeaux. À la même date, il est le statuaire officiel de la ville de Bordeaux.

À ce titre réalise de nombreuses commandes dont la statue de Tourny sur la place du même nom, les tombeaux des cardinaux à la cathédrale, des monuments aux morts, un nombre important de bustes, notamment ceux des maires de Bordeaux.

Ses œuvres connues à BORDEAUX:

- Monument d’Émile Planchon par le sculpteur Auguste Baussan (1829-1907) inaugurée le 9 décembre 1894 à Montpellier. Jules-Emile Planchon est né à Ganges en 1823. A 16 ans, le baccalauréat en poche, il se lance dans des études de pharmacie et se spécialise dans la botanique. Mais son succès et la reconnaissance de ses pairs, il les reçoit en juillet 1868. Cette année-là il découvre l'origine du mal qui détruit les vignes françaises : un puceron causant le phylloxera. Il propose d'y remédier, en greffant les ceps avec des vignes américaines.

- Du même sculpteur, Auguste Baussan, dans la même ville de Montpellier:

- https://fr.wikipedia.org/wiki/Alexis_Millardet- https://www.ledecante.fr/fr/1994-2/- https://www.moissey.com/AlexisMi.htm- https://www6.bordeaux-aquitaine.inrae.fr/sante-agroecologie-vignoble/Qui-sommes-nous/Un-peu-d-histoire/PMA-Millardet- https://www6.bordeaux-aquitaine.inrae.fr/sante-agroecologie-vignoble/Qui-sommes-nous/Un-peu-d-histoire/Buste-de-Millardet- https://oeno-one.eu/article/view/1418- https://www.juramusees.fr/decouverte/alexis-millardet/- https://gw.geneanet.org/njeanneret?n=millardet&oc=&p=pierre+alexis+marie- https://anosgrandshommes.musee-orsay.fr/index.php/Detail/objects/3713- https://e-monumen.net/patrimoine-monumental/monument-a-alexis-millardet-ou-la-vigne-reconnaissante-bordeaux/- https://www.geneastar.org/celebrite/millardetpi/alexis-millardet- https://dico-du-vin.com/sulfate-de-cuivre-viticulture/- https://www.auction.fr/_fr/lot/millardet-alexis-histoire-des-principales-varietes-et-especes-de-vignes-14536717- https://fr.linkfang.org/wiki/Alexis_Millardet- https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0269915X04001090- https://hal.inrae.fr/hal-02957615/document- https://data.bnf.fr/fr/10445384/pierre_marie_alexis_millardet/- http://photosfrancecotesouest.eklablog.fr/photo-du-buste-d-alexis-millardet-a47290989- https://archive.org/download/Millardet-Pierre-Marie-Alexis-PHAIDRA_o_4248/Millardet-Pierre-Marie-Alexis-PHAIDRA_o_4248.jpg- https://www.francebleu.fr/emissions/l-histoire-du-jour-avec-michel-cardoze/gironde/l-histoire-du-jour-avec-michel-cardoze-50- http://www.divagations-et-balades.com/article-statues-du-jardin-public-102758315.html- https://twitter.com/MelMontangerand- https://aubonclos.blog/2019/05/31/bouillie-bordelaise/- https://www6.bordeaux-aquitaine.inrae.fr/sante-agroecologie-vignoble/Qui-sommes-nous/Un-peu-d-histoire/Buste-de-Millardet- https://www6.bordeaux-aquitaine.inrae.fr/sante-agroecologie-vignoble/Media/Divers/annee-2020/buste-A.-Millardet_CDantarribe- http://inventaire.aquitaine.fr/la-recherche-en-aquitaine/blog-de-la-recherche/les-communes-riveraines-de-lestuaire-de-la-gironde/lusine-skawinski-a-saint-christoly-medoc-la-lutte-contre-les-maladies-de-la-vigne/- https://bordeauxvisite.com/2016/06/06/balade-jardin-public/- https://inventaire.nouvelle-aquitaine.fr/dossier/chateau-dauzac/15b40c2c-7a49-4cc0-a751-8f7245383636/illustration/27- https://www.inrap.fr/dossiers/Archeologie-du-Vin/Histoire-du-vin/Moderne-et-contemporain-Techniques-et-production- https://wikimili.com/en/Pierre-Marie-Alexis_Millardet- https://www.bordeaux-tourisme.com/bordeaux-lamour-histoires-coquines- http://collections-musees.bordeaux.fr/ow4/maq/voir.xsp?id=00101-14432&qid=sdx_q0&n=2&e=- http://collections-musees.bordeaux.fr/ow4/maq/voir.xsp?id=00101-5890&qid=sdx_q0&n=1&e=- http://www.babordnum.fr/viewer/show/1153#page/n0/mode/1up- https://bibliotheque.bordeaux.fr/in/imageReader.xhtml?id=BordeauxS_B330636101_GF250_1_21_RES&pageIndex=1&mode=simple&selectedTab=thumbnail- http://www.musba-bordeaux.fr/fr/article/callede-biographie- https://www.geneastar.org/celebrite/millardetpi/alexis-millardet- https://racinescomtoises.net/index?/category/2664-pierre_marie_alexis_millardet_1838_1902- https://www.lesechos.fr/weekend/gastronomie-vins/et-dauzac-osa-1213327- http://www.owlapps.net/owlapps_apps/articles?id=86923- http://www.musba-bordeaux.fr/sites/musba-bordeaux.fr/files/images/rich_text/ac_1949-1950-011.jpg- https://www.petit-patrimoine.com/fiche-petit-patrimoine.php?id_pp=34172_31- http://www.nella-buscot.com/jardins_montpellier_square_planchon.php- https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/e/ee/Denkmal_Planchon_Montpellier.jpg- https://www.cimetieres-de-france.fr/defunt/millardet-a-24384- http://www.divagations-et-balades.com/article-statues-du-jardin-public-102758315.html- Cécile Dantarribe.Monument à Alexis Millardet.La vigne reconnaissante de Gaston Leroux.Étude historique et artistique.INRAE.2020,22p.+annexes.hal-02957615- Archives Municipales de Bordeaux- Retronews- Archives Journal Sud-Ouest

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