STATUE DE JUNON / HÉRA

> CONSTRUCTION:  statue originelle en pierre calcaire dure de Taillebourg et de Chauvigny, copie en pierre de Vilhonneur

> ÉTAT: Chacune dans des états différents, elles sont cependant toutes visibles aux 3 endroits.

Coordonnées GPS: 

44.84246, -0.57417

44.83074, -0.55965

44.84944, -0.57772

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=> la CARTE:

Héra (en grec ancien Ἥρα) dans la mythologie grecque (Junon dans la mythologie romaine) est la déesse du mariage, de la vie ainsi que de la famille. Héra est, par excellence, la divinité féminine. On place la menstruation, la grossesse, l'accouchement, sous son influence. On lui dédie les plantes qui sont réputées guérir les maladies féminines. D'une manière générale, elle est la protectrice des femmes et surtout du mariage

C'est la fille de Cronos et Rhéa. Héra était primitivement la souveraine du ciel, la vierge céleste (d'où son surnom de Parthénia). Son mariage avec son frère Zeus fut imaginé plus tard (seule déesse a être mariée à l'Olympe), pour expliquer la fusion de deux cultes distincts à l'origine. Elle eut avec lui 3 enfants: Arès, Hébé et Ilithyie . Elle est aussi la mère d'Héphaïstos, qu'elle conçoit seule pour défier son mari Zeus et lui montrer qu'elle n'a pas besoin de lui pour avoir des enfants (à la naissance, elle le trouve tellement laid, qu' horrifiée, elle décide de le jeter du Mont Olympe. Il survit, mais les jambes brisées dans sa chute, il devient boiteux).

On lui attribue d'ordinaire un caractère fier et jaloux et des haines implacables. Héra est donc le plus souvent présentée comme une épouse jalouse, qui aime maltraiter les maîtresses de Zeus (Io, Léto, Callisto, Sémélé, Alcmène) et leurs enfants. Parmi ses victimes : Héraclès (Hercule), à qui elle met dans son berceau deux serpents et la nymphe Io, transformée en vache par Zeus pour la protéger, mais rendue folle par les piqûres d'un taon envoyé par Héra.

Déesse du mariage légitime, elle n'a pas d'amant (elle est quand même désirée par Ixion et par Endymion). Les attributs d'Héra sont le diadème royal (ou le polos), la haute couronne cylindrique, parfois une grenade (emblème de la fécondité), parfois un voile (symbolisant la virginité et le mariage), le lys, le sceptre surmonté d'un coucou (allusion aux circonstances de son mariage) et la couronne de fleur

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L'animal consacré à Héra était la vache (ou plutôt la génisse), on lui en immolait des hécatombes. Plus tard on lui consacra le paon (consacré en souvenir d'Argos, dont elle prit les cent yeux, lorsqu' il fut tué, pour les placer sur le plumage de l'oiseau).

(Note: On raconte que pour séduire Héra, Zeus provoqua la pluie alors que Héra se promenait dans le bois. Il se changea en coucou et Héra voyant le pauvre oiseau mouillé et frissonnant de froid le prit et le cacha sur son cœur. Zeus en profita pour la demander en mariage.)


À l'origine, comme son nom semble l'indiquer, elle est une déesse de la jeunesse. Elle est aussi liée au cycle lunaire. Avec le dieu Janus elle préside au passage d'un mois à l'autre et à l'apparition de la nouvelle lune. Elle est donc une déesse de la lumière nocturne (celle reflétée par la lune). Le premier jour du mois les Romains faisaient une invocation à Junon. Les festivités du culte de Junon avaient lieu le plus souvent le premier jour du mois. Par analogie avec le cycle de la Lune, Junon était liée au cycle menstruel des femmes. Junon occupe une grande place dans les cérémonies du mariage.

Junon protège également les femmes pour les suites attendues du mariage : Juno Lucina protège la femme enceinte ; Juno Ossipago ou Ossipagina fortifie les os de l'enfant ; Juno Rumina fera en sorte que la mère puisse allaiter. Juno Sospita aide la femme à accoucher.

Juno Regina (comme celle du temple du Capitole) est presque toujours représentée debout; elle porte le sceptre, la patène, le diadème des souverains sur la tête et est accompagnée d'un paon. Juno Sospita est représentée armée de la lance et du bouclier. Juno Lucina porte un enfant sur le bras quelquefois deux à ses pieds ou bien avec une fleur dans la main.

Saturne avait pour habitude de dévorer ses enfants. Il dévora sa fille Junon alors qu'elle était un bébé. Devenu adulte, son frère jumeau Jupiter la délivra et l'épousa. Avec Jupiter elle donna naissance à Hébé, LLithye et Mars. Sans aide, elle donna naissance à Vulcain

Souvent trompée par Jupiter, Junon est représentée comme une déesse rancunière, se vengeant des femmes et des divinités courtisées ou poursuivis par son époux. Elle n'hésite pas à se venger sur les enfants nés de ces unions (Hercule, Io, Europe, Sémélé, Platée, etc.).

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Le 14 septembre 1776 Berruer envoie à Bordeaux les modèles de plâtre et de carton (Modèles visibles au Musée des Arts Décoratifs de Bordeaux: voir plus bas dans la page). Van Den Drix et Philippe Titeux (cousin de Victor Louis), exécutèrent d'après les dessins et les modèles les huit autres statues (dont Junon/Héra), qui seront achevées et installées pour l'inauguration du théâtre le 7 avril 1780.

En 1803, les 12 statues "réparées et peintes à l'huile grasse chaude" retrouveront une nouvelle jeunesse. Jusqu'aux années qui précédèrent le centenaire de cette inauguration, il semble qu'on se soit peu préoccupé de l'intérêt de cet ensemble de statues.

Cependant, peu avant 1876, « on a gratté toutes les statues de Berruer en façade, leur enlevant environ un centimètre de pierre. Puis on a passé du gris dessus pour harmoniser », peut-on lire dans le Courrier de la Gironde du 2 décembre 1876. Un examen attentif permit à l'architecte Marius Faget de constater que toutes les statues de la façade étaient endommagées, que des morceaux s'en détachaient et que la peinture était écaillée par place.

Or, recouvrir les statues de nouvelles couches ne pouvait que hâter leur ruine. En Juin 1882, l'Adjoint au Maire et l'Architecte des Bâtiments Communaux alertent le Conseil Municipal sur l'état des 12 statues. En Octobre de la même année, l'architecte estime dans un premier devis de 9700 fr, que les statues de Vénus/Aphrodite et de Calliope doivent être remplacées, et que les 10 autres doivent être restaurées. La restauration consistant à: gratter l'ancienne peinture des 10 statues, refaire les joints de 7 statues formées de plusieurs morceaux, mastiquer les cavités, appliquer 4 couches de nouvelle peinture (dont la 1ère couche à l'huile pure bouillante), et réparation des piédestaux. Le sculpteur MORA fut aussi consulté sur ce devis et n'y trouva rien à redire et en accepta l’exécution....

Le Conseil Municipal demanda cependant en Février 1883 de procéder en deux fois (dans l' "intérêt des finances): d'abord un grattage de toutes les statues (pour un coût de 4700 fr), et remplacement des statues de Vénus/Aphrodite et de Calliope uniquement si jugé nécessaire une fois le grattage effectué. Ce grattage sera effectué, et fin Août 1883, l'architecte et le sculpteur MORA adresseront un courrier au Maire pour témoigner de l'état de dégradation avancé de la statue de Vénus/Aphrodite et de la nécessité de son remplacement. 

Début Décembre 1883, le Conseil Municipal affectera une somme de 3500 fr pour le remplacement de la statue de Vénus/Aphrodite. Cette statue endommagée fut retirée du fronton le jeudi 27 Décembre 1883.

Fin Octobre 1886, le sculpteur MORA finira la restauration de l'ensemble des 12 statues (dont le remplacement de la statue de Vénus/Aphrodite).

En avril 1887, un nouveau courrier sera adresser au Maire pour alerter à nouveau sur l'état préoccupant de la statue de Calliope, et une nouveau besoin de rejointoiement de 6 statues. Début Décembre 1888, Émile RISPAL confirma son engagement pour réaliser une copie de la statue de Calliope (Coëffoart qui avait proposé un devis en collaboration avec RISPAL & MARTIN, étant décédé peu avant...). Son devis de 1100 fr pour les réparations de 6 statues, et 3500 fr pour la copie de Calliope en pierre Chauvigny, fut accepté le 11 Octobre 1887 par le Conseil Municipal.

En 1887, le sculpteur  Émile RISPAL (1871-1910) refit également à l'identique la statue de Junon.

Un rapport alarmiste du 27 janvier 1947 indique que cinq statues "présentent des fissures graves et certaines d'entre elles dont la masse principale déborde l'aplomb de la balustrade constituent un réel danger". S'en suit en 1948 la dépose de 5 statues et de leur remplacement par des copies en pierre de Vilhonneur.

Dans les ateliers de André Drapé place Gavinies, René RISPAL (1898-1985), Alexandre CALLÈDE (1899-1980), Albert BINQUET (1879-1959) et SOUDANT referont ainsi encore une nouvelle copie de Junon/Héra. Elle sera installée sur le Grand Théâtre en 1950. 

(Restauration de 1873-1874)
Le sculpteur René RISPAL
Alexandre Callède

Ci-dessous le plan de l'échafaudage qui a servi en 1949-1950 à descendre et monter les 5 statues... 

Ci-après et ci-contre les photos de 1949 où l'on voit qu'il manque les 5 statues en cours de restauration (dont Clio). 

Sur cette vue avant/après 1950, on se rend compte de l'installation de 5 nouvelles statues en comparant la "blancheur" de la pierre...

Comme on peut le lire dans les documents d'archives de la Métropole de Bordeaux ci-dessous, les deux statues de Thalie et Junon/ Héra ont été installées à côté de la fontaine de Sainte Croix (voir page dédiée sur cette fontaine ici: https://www.bordeaux-qqoqccp.com/themes/fontaines-de-bordeaux/fontaine-sainte-croix) à la demande du Directeur de l’École Municipale des Beaux Arts et des Arts Décoratifs.

Il y est dit qu'entre 1948 et 1950, cinq statues du Grand Théâtre y étaient déposées (voir plan d'échafaudage ci-dessous), et que le Directeur souhaitait les utiliser pour orner les jardins de la façade de l’École.

> Une première statue (sans doute celle d’Érato) fut installée dans l'angle près du nouveau garage à bicyclettes (après l'abattage d'un Tilleul).

> Deux autres (probablement Minerve et Clio) furent installées dans les jardins à des "emplacements convenablement choisis".

> Les deux dernières statues (Thalie et Junon/ Héra) furent placées à côté de la Fontaine Sainte Croix dans le square Dom Bedos en remplacement des statues détruites par les bombardements de la 2nde guerre mondiale (:bombe tombée au 12 rue des Beaux Arts le vendredi 18 août 1944 à 20h13).

L'installation des deux statues de Thalie et Junon/ Héra a été réalisée par l'entrepreneur G. MORAUD pour la somme de 10 000 francs, et l'assemblage/scellement/restauration furent effectués par l’École des Beaux Arts avec le crédit réservé au fonctionnement de l’École...

(La plaque actuelle date un peu, il y a quelques années on ne voyait plus que 4 statues dans les jardins devant le bâtiment et aujourd'hui seulement Uranie, Clio et la moitié de Minerve)

REMARQUE: Dans son ouvrage "Bordeaux Mon album" de 2007, M. Richard ZÉBOULON notait que ces deux statues avaient été "récemment" décapitées et venaient juste de retrouver des têtes de "remplacement"... En effet en regardant attentivement, on voit que la statue a une marque blanche à la base du cou, correspondant probablement à un raccord pour fixer la tête...

Certaines statues originelles, trop abîmées pour être restaurées, ont été placées dans le jardin public. C'est le cas notamment de la statue de Junon/Héra qui se trouve à la pointe de l' "île aux enfants".

(NOTE: Sur les plaques que l'on pouvait trouver au jardin public, avec l'explication de la présence des statues, on peut remarquer que l'auteur a rédigé un descriptif correct, mais en sous-titrant il a inversé le nom de 2 statues ! D'autre part, les 2 premières photos des plaques encore lisibles ci-dessous datent déjà de plusieurs années. Aujourd'hui plus aucune des 3 plaques n'est lisible...!)


ANECDOTES ET INFORMATIONS ANNEXES

Berruer sculpta plusieurs représentations des 3 Déesses pendant sa carrière... Ci-contre un relief sculpté sur l'ancienne école de chirurgie, présentant Louis XV, accompagné de la Sagesse (Minerve) et de la Bienfaisance, accordant des grâces et des privilèges à la Chirurgie. Le Génie des arts présente au Roi le plan des écoles. On aperçoit Vénus/Aphrodite avec son miroir et donc Junon/Héra avec son paon. Le reste du bas-relief est rempli de malades. Après la Révolution, l'effigie du roi fut remplacée par une figure allégorique.

On trouve donc au Musée des Arts Décoratifs les modèles du sculpteur BERRUER des muses et des déesses (dont Junon/Héra), mais l'on retrouve également au Musée des Beaux-Arts de Bordeaux, un autre modèle de statue du même artiste: Hébé. Hébé est la plus jeune fille d’Héra (Junon) et de Zeus(Jupiter).

Elle est le symbole de la jeunesse éternelle, de la vitalité et de la vigueur des jeunes, aussi vénérée comme la déesse des jeunes épouses. Son rôle au Mont Olympe était de servir l'ambroisie aux dieux afin qu'ils restent éternellement jeunes. Mais un jour, pendant un banquet, elle fit un faux pas et tomba de telle manière qu’Athéna craignit pour sa pudeur. Afin d'éviter que pareil impair se renouvelle, Zeus en profita pour charger de cette importante tâche son protégé Ganymède, un jeune mortel qu'il avait enlevé. 

Cette statuette en terre-cuite (de 1767, 61 x 18 cm) représente une jeune femme debout, en mouvement, couronnée de roses et tenant à la main un flacon. Son corps est vêtu d’une draperie animée, la découvrant partiellement au niveau de la poitrine. Le style est identique à celui des statues du Grand Théâtre.

La triade capitoline désigne, dans la religion romaine, les trois divinités Jupiter, Junon et Minerve qui étaient honorées au temple de Jupiter Capitolin, sur le Capitole à Rome. La triade capitoline est progressivement devenue l'empreinte culturelle romaine dans de nombreuses villes romaines, comme on peut le voir notamment à Pompéi, à Djemila ou sur les bas-reliefs d'Alésia. Elle célèbre Jupiter, dieu de la foudre, du tonnerre, du ciel et de la lumière, et défenseur de la justice, Junon, reine des dieux et du ciel, et protectrice des femmes, et Minerve, déesse de la sagesse, des arts et des techniques de la guerre, et protectrice de Rome. Les cérémonies en l'honneur de la triade capitoline étaient organisées chaque année par le Grand Pontife ou Pontifex maximus. Son culte s'est poursuivi à Rome jusqu'à la reconnaissance du christianisme comme religion d'État.

Le culte de ces trois divinités romaines a été précédé par la vénération d'une autre triade d'origine indo-européenne, baptisée « triade précapitoline », qui regroupait Jupiter, Mars et Quirinus. C'est sous l'influence des traditions étrusques que ces deux dernières divinités ont été remplacées par Junon et Minerve. Cette substitution a marqué la fin du modèle des fonctions tripartites indo-européennes, quoiqu'on puisse retrouver la fonction guerrière de Mars en sa demi-sœur (ils n'ont pas la même mère) Minerve qui allie sagesse et calcul à la fureur guerrière et la fonction "fertile" de Quirinus dans Junon déesse du foyer conjugal.

>  Alexandre CALLÈDE. Morcenx (Landes), 16 août 1899 - Pessac (Gironde), 12 avril 1980. Sculpteur. Élève de Tuffet et de Leroux à l'école des Beaux-Arts de Bordeaux. Expose d'abord à la Société des Amis des Arts puis à l' Atelier (à partir de 1931) et, à Paris, au Salon des Artistes Français. Professeur de sculpture statuaire à l'école des Beaux-Arts de Bordeaux (1942-1972), Callède fut aussi un athlète de haut niveau, vice-champion de France de saut en hauteur (1921). Il a travaillé à la décoration de l'hôtel Frugès. 

> Albert BINQUET . Sculpteur. Quelque temps professeur à l'école des Beaux-Arts de Bordeaux. Binquet fut surtout un ornemaniste et un décorateur qui exposa au Salon d'Automne entre 1923 et 1931 des portes et motifs pour façades de palais ou maisons. Il fut choisi pour sculpter les armes de Bordeaux sur la façade de la galerie des Beaux-Arts, des abattoirs et de la crèche de la place Adolphe-Buscaillet. 

> René RISPAL. Sculpteur et professeur à l’École des Beaux-Arts à qui l'ont doit entre autres, la copie en pierre du buste de Léo Drouyn, l'abat-voix de l’Église du Saint Esprit, la copie en pierre du Monument à Ulysse Gayon

Les 12 statues qui trônent au sommet du monument bordelais sont masquées depuis le mois de mai. Une initiative insolite de la Ville pour sensibiliser au port du masque. Un clin d’œil plaisant à la crise sanitaire, décidé au moment du déconfinement par la Ville de Bordeaux, soucieuse de "sensibiliser la population au port du masque", comme l’explique Olivier Lombardie, administrateur général de l’Opéra national de Bordeaux (ONB).

=> Héra / Junon, bonne élève, a gardé son masque...

grand theatre masquées.avi
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